libération?...maybe -_-[D-I-E-U]

Une pièce sombre, sans fenêtres, sans la moindre ouverture sur l’extérieur à part deux meurtrières placé juste sous le plafond qui se trouve à 4 mètres de hauteur, l’une de celles-ci éclairant le pseudo lit – qui en fait n’est qu’un simple matelas remplis de paille posé sur le sol avec une couverture et un pull en guise d’oreiller – et l’autre éclairant un lavabo, d’une blancheur caché par les taches incrustés dans la porcelaine. Dans cette pièce froide et humide il est fort facile de choper x ou y maladie, tant par l’air qui n’y est que très peux renouvelé ou par l’humidité qui à commencé depuis quelques année à en pourrir les murs et le plafond dont il n’est pas rare que des morceaux tombe, cela dit si le mur venait à s’écrouler ça permettrais à l’habitante de cette pièce de se faufiler à l’extérieur…Comment ça une habitante, quelqu’un peut vivre dans un taudis pareil me direz-vous ? Je vous répondrais que oui, mais que ce n’est pas par sa propre volonté.
Kendra Soma une jeune femme maintenant âgée de 17 ans fut enfermé dans cette pièce il y a onze par Lord Wangersen un homme d’une soixantaine d’année, un allemand anciennement militaire dont la probabilité de diriger un orphelinat vu son caractère était proche du zéro absolu et pourtant c’est bien lui qui est à la tête de la « Nouvelle chance » un orphelinat aux soins bien particuliers bien que pour la jeune femme ce risque d’être la dernière.
Kendra est une charmante jeune fille du haut de ses 17 ans et de son mètre 67, ses cheveux noirs étaient pourvu de pointes blanches naturellement et contrastent avec ses magnifiques yeux vert émeraude. Elle tenait un livre à la main et était accroupi contre le mur sur le lit de manière à pouvoir distinguer à peu prés correctement les lettres imprimés en noirs sur ces vielle pages jaunie de papier blanc. C’était un livre d’histoire, l’histoire du japon, l’histoire du dehors, de ce monde qu’elle en connaissait pas le moins du monde isolée e tous à part une visite quotidienne pour un repas froid et un peux d’eau en plus de celle d’une infirmière toutes les deux semaines pour vérifier que la jeune femme n’était pas mourante, cela aurait fait bien trop de complication si elle était décédée dans ces murs. Kendy y avait été enfermée à cause d’un secret, une bizarrerie qui la rendais unique…et dangereuse d’après lord Wangersen. Dés qu’elle entrait en contact avec un homme elle devenait un tigre, une mignonne peluche de la taille d’un chat quand elle était enfant mais maintenant c’était une fabuleuse tigresse adulte de prés de deux mètres de long et aux yeux bleu époustouflants.
Cela faisait deux heure qu’on lui avait amené le plateau repas passé sous la porte mais elle n’y avait pas touché le matin elle avait été prise d’une de ses crises de folie habituelle et du coup un peu de sang encore frais trainait sur le sol et dans la porcelaine noircie du lavabo de la cellule, et pourtant malgré le fait que la visite quotidienne ai eu lieu on entendait des pas arriver, une clef qui tourna dans une serrure et une petite fente s’ouvrit dans le haut de la porte, on y vit deux yeux brun se poser et une voix forte se fit entendre.

_Hey le monstre débout on se dépêche tu as de la visite.

Kendra se contenta de fermer son livre et de lever els yeux vers l’interprète de ses paroles dures mais auxquelles elle était totalement habituée, la faible ouverture se referma et la porte s’ouvrit à son tour, l’homme entra et attacha les mains de Kendy à une corde de façon à ce qu’elle en risque pas de l blesser puis il al fit sortir et l’emmena jusqu’à une pièce beaucoup plus lumineuse, elle plissa les yeux quelques minutes et fut assis sur un fauteuil rouge de force.

_ La voici monsieur mais à mon avis votre visiteur c’est trompé ça m’étonnerai qu’il veuille voir le monstre…enfin, Linou.

Oui car en effet en plus de Kendy du garde et de Lord Wangersen il y avait une autre personne dans la pièce surement un home, la maudite ne le distinguait pas correctement aveuglé par la lumière du jour.

Finalement, il s’était enfin décidé à y aller. Cet instant, il l’avait repoussé de plus en plus … Car même si l’idée d’une nouvelle arrivante, une nouvelle tête pour le distraire, une nouvelle carte à jouer, ne pouvait que lui faire plaisir, aller la chercher lui-même était risqué. Ces rustres reclus dans ce qui ressemblait plus à un taudis qu’à une habitation décente avaient-ils déjà vu le Chef de la famille Sôma, l’une des maisons les plus riches et les plus anciennes du Japon ? Pas forcément … Mais ce n’était pas une raison pour prendre des risques, il ne pouvait se le permettre. Ainsi, même si Kaede, qui pourtant osait à peine lui parler d’habitude, c’était faite de plus insistante de jour en jour, lui répétant constamment qu’il fallait aller la chercher rapidement, il s’était bien écoulé un mois entre la réception de cette lettre compromettante et ce jour où finalement, il se tenait dans une pièce aux murs dévorés par un papier peint grisâtre en mauvais état, installé de mauvaise grâce sur un fauteuil de velours rouge mangé aux mites. Quel endroit des plus désagréables … A vrai dire, il lui était même difficilement concevable qu’une personne normale puisse arriver à vivre ici. Alors quelqu’un qui partageait son propre sang, ce sang divin transmit par la Malédiction … Encore moins.

~> Je vais l’envoyer chercher, déclara le gérant du taudis rebaptisé La Nouvelle Chance pour l’occasion. C’était un homme d’un âge déjà bien avancé, un européen si l’on en croyait son allure bizarre et ses cheveux qui, même grisonnants, laissaient entrevoir par moment des vestiges de ce qui avait dû être autrefois des mèches blondes. Lui hausse les épaules, signalant par un signe de tête qu’il avait enregistré l’information. Il était déjà suffisamment dégoûté par cet endroit sordide, dénué de ce qu’il avait toujours pensé être une politique d’hygiène élémentaire commune à tous. Comment avait-il pu venir ici ? Même si c’était pour venir la chercher, comment ? Pourquoi diable n’avait-il pas envoyé un sous-fifre, un domestique, ou même l’un de ses Maudits pour la ramener ? Au fond de lui il connaissait la réponse …

Kaeru Sôma était un jeune homme de vingt et un ans, de petite taille, aux longs cheveux d’un blond presque blanc, animés par moment de reflets gris argenté. Ce qui était le plus impressionnant chez lui ? Sa présence. Malgré son faible gabarit, il suffisait qu’il pose sur lui deux pupilles d’un jaune brillant tirant vers l’orangé pour que vous vous demandiez si la réincarnation de l’un des rois de France, plus particulièrement cet imposant Louis XIV, ne se tenait pas devant vous. Il n’en fallait pas moins pour diriger la famille Sôma. Il était leur Dieu, au sens propre et figuré du terme. Dieu de par son statut, de par l’attention qu’on lui portait. Depuis sa prime jeunesse, tous ses souhaits avaient été exécutés, à l’exception de celui qui lui avait pourtant tenu le plus à cœur : la Liberté. En grandissant, et en prenant pleinement possession des pouvoirs du Chef de famille, il avait vraiment pu faire ce qu’il voulait. Et puis Dieu … Dieu des Douze à cause de la Malédiction. Il régnait sur les animaux du Zodiaque chinois qui hantaient les membres de sa famille, en comptant bien évidemment le Chat et l’Ours, deux individus au statut quelque peu particulier …
Mais que faisait-il là alors ? La réponse n’allait pas tarder à émerger dans la pièce, s’il se fiait aux bruits de pas qui résonnaient dans l’escalier … Un mois auparavant, Kaeru avait reçu une lettre, une missive l’informant que non seulement il n’était pas fils unique comme on le lui avait toujours répété, mais que sa sœur sortie de nulle part était apparemment Maudite elle aussi. Double choc. Rapidement, il s’était rendu compte que personne ne devait être au courant de cette histoire. Alors il n’avait eu qu’une solution, humiliante mais tellement évidente à ses yeux : venir lui même, en personne. Alors le Dieu avait troqué ses habituels vêtements blancs contre ce qu’il pensait être un tantinet plus discret : une simple veste de soie grise, rapiécée à l’un des coudes pour la forme, un pantalon de toile noire, tout ce qu’il y a de plus simple, une chemise sombre elle aussi, puis un couvre chef sensé dissimulé la majeure partie de ses cheveux gris, peu communs pour une jeune homme de vingt ans …

Brusquement, la porte s’ouvrit sur l’armoire à glace qui avait quittée la pièce une dizaine de minutes plus tôt. Derrière elle, une corde. Et attaché au bout de ladite corde, deux mains, appartenant à une jeune fille qui ne devait plus être bien loin de ses dix-huit ans. De longs cheveux noirs, parfois entremêlés de mèches blanchâtres, encadraient son visage au teint pâle. Un visage qui ne devait pas avoir revu la lumière depuis longtemps semblait-il … Les sourcils froncés, il la dévisagea pendant quelques minutes, s’arrêtant sur chaque détail qui aurait pu lui confirmer les dires de l’auteur de la lettre. Ses yeux … Vert émeraude, brillants, tout comme ceux de son père. Le doute n’était plus permit, mais cette troublante ressemblance ne manquerait certainement pas d’être remarquée par ceux qui avaient connu le précédent Dieu …

» Bien, déclara-t-il en se levant, tout en se disant qu’au contraire, ce n’était pas bien du tout. Je l’emmène.

Un ton qui ne permettait aucun réclamation, une allure semblable à une prince de sang royal, ce qu’il n’était pas. Le Roy ? Ridicule. Lui avait atteint le niveau au dessus, il était Dieu, tout simplement. Un regard qui finit par se poser sur ce vieil européen, le mettant seulement au défi de l’empêcher de réaliser ce qu’il venait clairement de formuler à voix haute.

Une fois que ces yeux se furent définitivement accoutumé à la forte luminosité de la pièce elle réussit à parfaitement distinguer le visage de l’inconnu, c’était bel et bien un homme ses cheveux étaient si clairs qu’ils ressortaient presque blanc, ses yeux ne plaisaient en rien à notre jeune demoiselle elle les trouvait bien trop fier pour un homme tel que lui bien trop supérieur tout comme son style de vêtement pour qui se prend-il et ce ne sont pas ses paroles qui vinrent arranger les choses, et quelles paroles d’ailleurs : « Bien, je l’emmène ». Mais pour l’emmener il faudrait peut-être que la principale intéressée soit d’accord, ce qui n’était pas prés d’arriver vu qu’elle trouvait cette phrase comparable à celle qu’on pourrait dire dans une boucherie « Oui, ce rôtis là sera parfait merci bien ». Notre jeune femme avait beau être enfermée depuis ses six ans et ne pas savoir grand-chose du monde moderne à part ce qui était écrit dans ses livres elle avait tout de même assez de cervelle pour juger de la brutalité de telles paroles.

*Pour qui il se prend celui-là, si il croit que je vais le suivre comme ça, il peut toujours courir…*

Enfin ce furent juste des pensées, les mots pour signaler ce refus manquaient cruellement eux. Et puis à quoi bon ? Elle aurait toujours pu essayer d’articuler la moindre petite syllabe ça n’aurait rien changé, il n’y aurait pas eu le moindre son qui serait sortit, cela fait maintenant prés de onze ans que la jeune femme n’a pas émit la moindre trace de son, onze ans qu’elle na pas dit un mot, pas toussé en émettant un bruit pas de bruit non plus lors de ses éternuement, ni même lors de ses pleurs même si depuis les cinq dernières année ceux-ci se firent aussi plus que rare, les seul sont qu’elle émettaient étaient en effet ce rire d’un sadisme puissant lors des quelques crises de folie passagères qui lui ravageaient un peu plus le cerveau tous les jours. Ce rire étaient une indication pour les gardiens, ceux–ci amenaient alors toujours une serviette éponge blanche pour la jeune fille et lui passaient par la trappe, mais il indiquait aussi que ses cordes vocales étaient en parfait état de fonctionnement, juste qu’elle ne s’en servait plus. A quoi pourrait servir de parler quand on est seul, parler au mur très peux pour elle et s’inventer un ami imaginaire qui ne risque pas de répondre est tout aussi inutile, alors mieux vaut ne plus parler du tout.
Elle commença néanmoins à s’exprimer dans la seule langue qu’elle utilisait désormais celle des gestes, en effet elle la maitrisait bien, pourquoi si elle voulait arrêter de s’exprimer l’a elle apprit me demanderez-vous ? Je vous répondrais alors qu’elle en m’en a pas communiqué les raisons, elle l’a seulement apprise au prés de l’infirmière qui lui rendait visite au par avant.

- Si tu crois que je vais te suivre comme ça je ne sais même pas qui tu es ! –

Lord Wangersen, prit la parole…« Allez chercher cette sale graine de Yuta et l’infirmière !!! Et plus vite que ça »L’homme lâcha alors Kendra et s’exécuta, celle-ci profita alors de l’inattention de lord pour monter sur le bureau et à l’aide de son coude faire tomber un cadre du mur, celui-ci s’écrasa en fracas sur le sol. Tout en faisant extrêmement attention à ne pas se blesser, elle saisit une dague ancienne qui s’y trouvait et fit passer le manche entre ses dents, puis avec une extrême dextérité elle coupât la corde qui lui maintenait les deux poignets attachés. La corde s’étala alors sur le sol comme un serpent mort, et Kendra lécha son poignet meurtri comme sa nature maudite du tigre l’aurait fait. Elle posa alors al lame sur le bureau estiment ne plus en avoir besoin et s’approcha de Lord Wangersen, celui-ci commença à pâlir et à transpirer en demandant à la jeune femme de ne pas faire de bêtises, lorsqu’elle ne fut plus qu’à quelques pas de lui, une voix retentis…

Linou arrêtes, ça ne sert à rien !

Un jeune homme venait d’entrer, d’une allure assez imposante pas par sa force mais par son physique on aurait dit un Prince sortit des anciens comptes avec ses cheveux mis longs et son visage fin. Pourtant notre tigresse ne semblait pas l’apprécier vu son regard à l’arrivé du nouvel interlocuteur. Néanmoins elle n’avait pas le choix c’était une des seules personnes qui pouvaient traduire ses paroles ou plutôt ses gestes.

- Tu es là fait ton boulot et après casses toi ! Moins je te voix mieux je me porte –

Si tu veux…

- Dis lui qu’il est hors de question que je me fasse traiter comme un bout de viande et qu’il en m’emmènera nulle part, je sortirais d’ici par moi-même et pas avec un prétentieux de mes deux… -

Mais à son plus grand désespoir Yuta ne semblait pas entendre les choses de cette manière et il transforma quelque peut les dire de la jeune femme.

Elle veut vous faire savoir qu’elle vous est fort reconnaissante de cette sublime offre que de la sortir de cet enfer que lui inflige Lord Wangersen depuis toutes ces années…

Kendy entra alors dans une rage noire cette interprétation ne lui plaisait pas du tout, elle se précipita sur Yuta et le balança contre le mur, puis tournât l’écran de l’ordinateur de Lord elle écrivit ces mots « Il ment je ne bougerais pas avec ce prétentieux s’il veut m’avoir faudra me respecter et surtout m’attraper » Kendy resta droite sans bouger mais le moindre mouvement ennemis pourrait déclencher chez son cerveau dérangé de multiples action bonne comme moins bonnes tout dépend.